Aux éditions Albin Michel
J’ai beaucoup aimé ce livre, l’histoire est très intéressante et j’ai surtout apprécié l’écriture de très belle qualité, époustouflante même parfois… Peut-être des moments un peu en longueur, mais c’est bien là le seul bémol face à ce roman…
4e de couverture :
Les Bérynx : une famille ordinaire, avec son patriarche autoritaire, ses mures affairées, ses enfants fragiles, ses secrets non partagés et son lot de drames. Et il y a Pierre, qui vient de se greffer sur cette famille comme une sorte d’ange gardien dont on ignore presque tout, homme à tout faire, mais aussi à tout défaire. Jusqu’au jour où il disparaît sans laisser d’autres traces que les brèches qu’il a ouvertes en chacun.
Roman des origines autant que de la construction de soi, L’inaperçu, comme Magnus, fait coexister le plus sombre de l’Histoire et des tragédies individuelles avec l’imprévisible, la puissance de l’imaginaire, les rêves les plus fous, tout ce qui échappe à l’emprise du temps et permet d’inventer son destin.
J’ai beaucoup aimé ce livre, l’histoire est très intéressante et j’ai surtout apprécié l’écriture de très belle qualité, époustouflante même parfois… Peut-être des moments un peu en longueur, mais c’est bien là le seul bémol face à ce roman…
4e de couverture :
Les Bérynx : une famille ordinaire, avec son patriarche autoritaire, ses mures affairées, ses enfants fragiles, ses secrets non partagés et son lot de drames. Et il y a Pierre, qui vient de se greffer sur cette famille comme une sorte d’ange gardien dont on ignore presque tout, homme à tout faire, mais aussi à tout défaire. Jusqu’au jour où il disparaît sans laisser d’autres traces que les brèches qu’il a ouvertes en chacun.
Roman des origines autant que de la construction de soi, L’inaperçu, comme Magnus, fait coexister le plus sombre de l’Histoire et des tragédies individuelles avec l’imprévisible, la puissance de l’imaginaire, les rêves les plus fous, tout ce qui échappe à l’emprise du temps et permet d’inventer son destin.
2 commentaires:
j'ai reçu le livre à Noel, depuis une semaine il est sur ma table basse à se morfondre mais je ne l'ai pas encore ouvert! j'écris, et quand j'écris je ne lis pas, mais bon comme je pars à Bandol je vais le mettre dans mes valises, puisque tu dis que c'est si bien. je te crois sur paroles... tu résumes si bien les choses, tu devrai faire critique littéraire...
a samedi, je t'embrasse, Brigitte
Tu donnes envie de le lire. Je m'absente 4 / 5 jours, je ne pourrai passer visiter les blogs mais cergyrama continue. Le temps de lire.... J'ai commencé le dernier Katherine Pancol. Bonne soirée.
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