Aux éditions Iconoclaste
On ne peut pas dire que Mimo soit aidé au démarrage de sa vie ! Issu d’un milieu pauvre, le jeune garçon va être envoyé en Italie à l’âge de 13 ans et confié à un sculpteur dont il devient l’apprenti. Dans le même temps il rencontre Viola, jeune fille fantasque, intelligente, rebelle, et héritière d’une famille de renom.
Unis
par un lien particulier, ils ne cesseront de se quitter pour se retrouver.
Mimo est talentueux et son art le portera vers les sommets malgré les nombreuses embûches semées sur son chemin. On assiste à son ascension alors même que l’Italie bascule dans le fascisme.
Et plane tout au long du roman le mystère d’une statue enfermée dans un lieu sûr…
Un roman incroyable qui nous entraîne dans une fresque historique de haute voltige, le tout rythmé par une écriture de toute beauté.
4e de couverture :
Le destin hors du commun de deux êtres qui ne devaient jamais se
rencontrer…
Dans un monastère italien, un homme rend son dernier soupir, veillé par les moines. Depuis quarante ans, il habite parmi eux, pour « veiller sur elle ». Elle, c’est sa dernière œuvre, une statue qui trouble tous ceux qui la voient. Quel est son secret ? Au cours de ses dernières heures, entre souvenirs et divagations, l’homme plonge dans l’histoire de sa vie. Son apprentissage chez un sculpteur alcoolique et brutal, sur le plateau de Pietra d’Alba, fief de la puissante famille Orsini. Et surtout, sa rencontre avec la fille unique de la famille Orsini, qui se prend d’amitié pour ce sculpteur parti de rien. Lui tombe amoureux de cette jeune femme entière, libre et passionnée. Côte à côte, Viola et Mimo traversent la moitié du XXe siècle, entre montée du fascisme et luttes de pouvoir. Ils s’esquivent, se retrouvent, tour à tour amis ou ennemis, sans jamais pouvoir vivre leur attirance ou s’en défaire. Et sans jamais trahir le serment qu’ils se firent le jour de leur rencontre.
Nota : Mardi 07 novembre 2023, le prix Goncourt a été remis à Jean-Baptiste Andrea pour son livre Veiller sur elle.
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