Elle regardait vers le ciel,
Comme si lui venaient des ailes.
Elle évitait tous les regards,
En se fondant dans le brouillard.
Elle appelait quelqu'un,
Comme pour occuper sa main.
Elle marchait trop vite,
Comme ces gens qu'elle évite.
Elle s'habillait légèrement,
Comme pour attirer les gens.
Elle pleurait souvent,
Ses larmes feraient des océans.
Elle lisait souvent mes histoires,
Se reconnaissait dans la plupart.
Elle voyait comme dans un miroir,
Le souvenir de mon départ.
Karim BELLIL
N’hésitez pas à découvrir le blog de Karim
Comme si lui venaient des ailes.
Elle évitait tous les regards,
En se fondant dans le brouillard.
Elle appelait quelqu'un,
Comme pour occuper sa main.
Elle marchait trop vite,
Comme ces gens qu'elle évite.
Elle s'habillait légèrement,
Comme pour attirer les gens.
Elle pleurait souvent,
Ses larmes feraient des océans.
Elle lisait souvent mes histoires,
Se reconnaissait dans la plupart.
Elle voyait comme dans un miroir,
Le souvenir de mon départ.
Karim BELLIL
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2 commentaires:
Merci Karim pour ce poème :-)
Merci Marie Laure pour le partage que tu fais !
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