Aux éditions Stock
Comme toujours avec Laurence Tardieu, les mots volent… À peine sont-ils posés sur la feuille que déjà, ils nous entraînent dans un univers où plus rien ne compte que ce qui est écrit. L’histoire nous prend tout de suite. Elle a ce don-là, de nous enchaîner à ses personnages.
Rêve d’amour est le 4e roman que je lis de cette écrivaine et aucune lassitude, au contraire même, une profonde admiration.
Les histoires sont toutes différentes mais néanmoins on y retrouve dans chacune une incroyable émotion qui nous emporte.
Ici l’héroïne s’appelle Alice. Elle vient de perdre son père. Ils ont vécu côte à côte sans échanger de mots d’amour, pourtant l’amour était bien présent entre eux, pudique. Mais surtout, il y a l’absence de la mère d’Alice, décédée alors qu’elle était toute petite. Alice a vécu sans rien connaître de sa mère, c’était un sujet tabou. C’est au moment de mourir que son père lui livre le nom d’un homme, celui qui fut l’amant de sa mère.
Alice végète dans sa vie, quelque chose l’empêche d’avancer… Sans père, ni mère, il lui reste ce dernier lien, celui de cet homme.
4e de couverture :
Nous sommes le 21 juillet 2006. Il est vingt heures. Je m’appelle Alice Grangé. J’ai trente ans. Gérard Oury est mort hier. Tout cela est certain. Vérifiable. Le réel. Je marche vers un homme que je ne connais pas. Ça encore, le réel. Cet homme a aimé ma mère. Ma mère a aimé cet homme. Je n’en suis déjà plus sûre. Cet homme va me parler de ma mère. Je ne sais pas. Je vais retrouver quelque chose de ma mère. Je ne sais pas.
Les choses les plus importantes sont-elles celles que l’on sait, ou celles que l’on cherche ?
Je m’appelle Alice Grangé. J’ai trente ans. Je cherche ma mère.
Comme toujours avec Laurence Tardieu, les mots volent… À peine sont-ils posés sur la feuille que déjà, ils nous entraînent dans un univers où plus rien ne compte que ce qui est écrit. L’histoire nous prend tout de suite. Elle a ce don-là, de nous enchaîner à ses personnages.
Rêve d’amour est le 4e roman que je lis de cette écrivaine et aucune lassitude, au contraire même, une profonde admiration.
Les histoires sont toutes différentes mais néanmoins on y retrouve dans chacune une incroyable émotion qui nous emporte.
Ici l’héroïne s’appelle Alice. Elle vient de perdre son père. Ils ont vécu côte à côte sans échanger de mots d’amour, pourtant l’amour était bien présent entre eux, pudique. Mais surtout, il y a l’absence de la mère d’Alice, décédée alors qu’elle était toute petite. Alice a vécu sans rien connaître de sa mère, c’était un sujet tabou. C’est au moment de mourir que son père lui livre le nom d’un homme, celui qui fut l’amant de sa mère.
Alice végète dans sa vie, quelque chose l’empêche d’avancer… Sans père, ni mère, il lui reste ce dernier lien, celui de cet homme.
4e de couverture :
Nous sommes le 21 juillet 2006. Il est vingt heures. Je m’appelle Alice Grangé. J’ai trente ans. Gérard Oury est mort hier. Tout cela est certain. Vérifiable. Le réel. Je marche vers un homme que je ne connais pas. Ça encore, le réel. Cet homme a aimé ma mère. Ma mère a aimé cet homme. Je n’en suis déjà plus sûre. Cet homme va me parler de ma mère. Je ne sais pas. Je vais retrouver quelque chose de ma mère. Je ne sais pas.
Les choses les plus importantes sont-elles celles que l’on sait, ou celles que l’on cherche ?
Je m’appelle Alice Grangé. J’ai trente ans. Je cherche ma mère.
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