lundi 21 avril 2008

Un enfant

Un enfant, quoi de plus charmant ?
Devant lui, on reste ébahis
Ravissement

Un enfant, quoi de plus touchant ?
Grâce à lui, on devient parents

Mais quand le destin

Vous prive de ce lien,
Le coeur est trop plein

Amèrement

Un enfant, un neveu ou une nièce
C'est pour lui toute la tendresse
Apaisement

Un enfant, quoi de plus troublant ?
C'est par lui que renaît la vie

Mairym

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci Mairym pour ce touchant poème...

Anonyme a dit…

Rencontrées sur le forum de Liza, nous voilà complices. Merci Marie-Laure pour cette art-mitié.

Anonyme a dit…

Tout ceci est très joli et tellement vrai... il manque cependant une strophe qui débuterait par "un enfant, quoi de plus chiant ?" si on veut être réaliste !!!

Pardon, je suis terrible !

Anonyme a dit…

Coucou Myriam !

Heureuse de te lire chez mon amie Marie-Laure !

Merci pour ce beau texte !

Anonyme a dit…

@ Vanessa, "terrible" Vanessa mais tellement drôle ;-)
@ Mairym et Liza, merci de votre passage :-)

Anonyme a dit…

Naïveté
(La vérité sort de la bouche des enfants)

J’aimerais retourner en enfance,
Avoir l’insouciance de ces larmes, de ces rires
….. à commande !

J’aimerais me dire « faut pas qu’je pense »,
Que ma vie soit une danse,
Et que de moi….. on en r’demande !

Car en fait, les enfants sont en perpétuelle quémande
D’explorer leur ego, seuls ou en bande.
Leur unique souci est de tester leurs sens.

Ils pleurent pour jauger la réprimande,
Ils rient pour que nos bras on leur tende…
Tout n’est que cris, histoire de voir à quoi ils peuvent prétendre.

Et on craque devant ce cinoche…avec aisance !
Leurs yeux sont si purs qu’on se croirait à Bizance,
Il ne faut pas grandir, on risque la sentence !

On ne sait plus y faire, provoquer l’attirance,
On réfléchit trop, on recherche le silence
Et en secret, notre vie n’est que souffrances.

Amour, haine, jalousies égalent décadence,
Manque de confiance et méconnaissances.
Nous sommes victimes d’une perte d’essences….

Errance jusqu’à l’ultime échéance,
Pourquoi tant de tracas et si peu d’espérance ?
Vaudrait mieux se taper sur la panse

Pour un hoquet, un sourire, un rot dégager
Et oter à la vie ce goût de rance.


...... bonne soirée !