Aux éditions Gallimard
Illustrations de Christian Cailleaux
Texte de Timothée de Fombelle
De temps en temps j’adore me plonger dans une bande-dessinée.
Mais il faut qu’elle me captive vraiment, aussi bien par l’histoire – qui du coup ne s’embarrasse pas de mots inutiles puisqu’il y a le dessin en support – que par le graphisme, que j’aime épuré.
Mais il faut qu’elle me captive vraiment, aussi bien par l’histoire – qui du coup ne s’embarrasse pas de mots inutiles puisqu’il y a le dessin en support – que par le graphisme, que j’aime épuré.
Avec Gramercy Park j’y ai trouvé les ingrédients que j’apprécie : les illustrations sont précises, rien de trop, et joliment colorées ; l’écriture, pleine de poésie, nous entraîne au fil des pages.
Au cœur des années 1950, entre les toits new-yorkais sur lesquels une jeune femme s’occupe de ruches, et un appartement juste en face où un homme vit avec sa petite fille, va se créer un dialogue silencieux.
Quel est le lien entre eux ? Et ces deux flics dans une voiture, qu’attendent-ils ?
Quel est le lien entre eux ? Et ces deux flics dans une voiture, qu’attendent-ils ?
Grâce aux flash-back, le lecteur va peu à peu comprendre ce qui se trame derrière cette histoire tout en finesse.
A découvrir...
Présentation de l'éditeur :
New York, 1954. Sur le toit d'un immeuble, une jeune femme s'occupe patiemment des ruches qui l'entourent et semble attendre quelque chose. Dans l'immeuble d'en face, un caïd de la pègre reste cloîtré chez lui à l'exception d'une mystérieuse sortie hebdomadaire. Ils ne se connaissent pas, mais ils se voient. Entre eux, le vide, une voiture de flics et un parc dont l'accès est réservé à quelques privilégiés. Qu'est-ce qui pourrait lier cette ancienne danseuse de l'Opéra de Paris et cet homme insaisissable que tout le monde craint ?
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