J’aimerais t’inventer des matins fleuris pour que plus jamais tu n’aies mal.
Qu’ils sentent à l’infini des parfums de bonheur,
Et déposent dans ton cœur des ailes enchantées qui allégeraient tes peines…
J’embrasserais le ciel de mille vœux pour qu’ils exaucent tes prières.
Qu’ils rendent les impossibles des évidences,
Et fassent accepter d’être soi en traversant les regards d’autrui.
Je décrocherais la lune balancelle pour qu’elle brille dans tes yeux.
Qu’elle soit l’assise de tes silences,
Et protège tes peurs les nuits de profonde obscurité.
J’aimerais faire tourner la terre dans le bon sens pour la rendre sensée.
Qu’elle se soûle d’ivresses insensées,
Et que les utopies deviennent le réel du toujours…
Texte © Marie-Laure Bigand
Qu’ils sentent à l’infini des parfums de bonheur,
Et déposent dans ton cœur des ailes enchantées qui allégeraient tes peines…
J’embrasserais le ciel de mille vœux pour qu’ils exaucent tes prières.
Qu’ils rendent les impossibles des évidences,
Et fassent accepter d’être soi en traversant les regards d’autrui.
Je décrocherais la lune balancelle pour qu’elle brille dans tes yeux.
Qu’elle soit l’assise de tes silences,
Et protège tes peurs les nuits de profonde obscurité.
J’aimerais faire tourner la terre dans le bon sens pour la rendre sensée.
Qu’elle se soûle d’ivresses insensées,
Et que les utopies deviennent le réel du toujours…
Texte © Marie-Laure Bigand
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