Aux éditions les Carnets du Dessert de lune
Le livre, préfacé par Roland Tixier (homme charmant que j’ai croisé lors d’un salon, poète de son état – lu et apprécié) et illustré par Hubert Daronnat, dépeint le milieu ouvrier dans les années 70.
L’auteur raconte une période de sa vie où il a travaillé dans une usine, où les conditions de travail n’étaient pas évidentes. De sa plume habillée de mots vrais, parfois crus, parfois tendres, parfois durs, mais derrière lesquels le poète n’est jamais bien loin, il décrit une réalité d’une époque où hommes et femmes prennent vie, à travers une galerie de portraits, dans ce qui faisait alors leur quotidien.
On suit ce jeune homme à peine sorti de l’adolescence qui entre dans cette vie dont il n’a pas vraiment rêvé et qui pose un regard observateur sur ce qui l’entoure…
Comme toujours l’écriture d’Hervé Bougel va à l’essentiel, sans fioriture, mais suffisamment puissante pour projeter notre imaginaire là où il veut que nous allions…
Le livre, préfacé par Roland Tixier (homme charmant que j’ai croisé lors d’un salon, poète de son état – lu et apprécié) et illustré par Hubert Daronnat, dépeint le milieu ouvrier dans les années 70.
L’auteur raconte une période de sa vie où il a travaillé dans une usine, où les conditions de travail n’étaient pas évidentes. De sa plume habillée de mots vrais, parfois crus, parfois tendres, parfois durs, mais derrière lesquels le poète n’est jamais bien loin, il décrit une réalité d’une époque où hommes et femmes prennent vie, à travers une galerie de portraits, dans ce qui faisait alors leur quotidien.
On suit ce jeune homme à peine sorti de l’adolescence qui entre dans cette vie dont il n’a pas vraiment rêvé et qui pose un regard observateur sur ce qui l’entoure…
Comme toujours l’écriture d’Hervé Bougel va à l’essentiel, sans fioriture, mais suffisamment puissante pour projeter notre imaginaire là où il veut que nous allions…
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