Avez-vous regardé le ciel par une belle nuit d’étoiles ?
Autant de lumières, autant de miroirs qui crient dans ma tête.
Comme la télévision jette un projecteur indécent sur la misère du monde.
Comment ? Comment supporter notre insouciance alors que là-bas, ou à notre porte, elle meurt de faim, il fait la guerre à son voisin, elle vit dans un bidonville, il est exploité au fond d’une mine, elle n’est pas protégée contre les pires maladies, elle est analphabète, ils n’ont pas le droit à la parole, ils sont sans papiers, sans identité ? Comment ?
En écrivant jusqu’à l’aube sur toutes les étoiles un message de paix et d’espérance pour éteindre l’incendie.
En dénonçant sans cesse la souffrance et la violence pour mieux les combattre.
Chanter pour les déracinés qui sont loin de chez eux sans l’avoir choisi,
Saisir le regard de tous ceux qui ont dans leurs yeux quelque chose qui fait mal, afin de nous aider à changer l’homme devenu loup pour lui-même.
Ecrire, écrire, jusqu’à épuisement de toutes les encres, dans toutes les langues,
Sur la pierre de l’amour et de l’intelligence :
« Ensemble ! »
Avez-vous regarder le ciel par cette nouvelle aurore ?
Autant de lumières, autant de rires d’enfants,
J’en ai rêvé pour l’éternité.
V. Gabralga
Texte écrit "en correspondance" avec la chanson "Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux" de Michel Berger
Autant de lumières, autant de miroirs qui crient dans ma tête.
Comme la télévision jette un projecteur indécent sur la misère du monde.
Comment ? Comment supporter notre insouciance alors que là-bas, ou à notre porte, elle meurt de faim, il fait la guerre à son voisin, elle vit dans un bidonville, il est exploité au fond d’une mine, elle n’est pas protégée contre les pires maladies, elle est analphabète, ils n’ont pas le droit à la parole, ils sont sans papiers, sans identité ? Comment ?
En écrivant jusqu’à l’aube sur toutes les étoiles un message de paix et d’espérance pour éteindre l’incendie.
En dénonçant sans cesse la souffrance et la violence pour mieux les combattre.
Chanter pour les déracinés qui sont loin de chez eux sans l’avoir choisi,
Saisir le regard de tous ceux qui ont dans leurs yeux quelque chose qui fait mal, afin de nous aider à changer l’homme devenu loup pour lui-même.
Ecrire, écrire, jusqu’à épuisement de toutes les encres, dans toutes les langues,
Sur la pierre de l’amour et de l’intelligence :
« Ensemble ! »
Avez-vous regarder le ciel par cette nouvelle aurore ?
Autant de lumières, autant de rires d’enfants,
J’en ai rêvé pour l’éternité.
V. Gabralga
Texte écrit "en correspondance" avec la chanson "Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux" de Michel Berger
1 commentaire:
Merci Philippe de me confier un si beau texte... Tu sais à quel point je suis sensible à ton écriture.
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