Aux éditions J’ai lu
Traduit de l’anglais par Jocelyne Barsse
La lecture de ce livre est difficile.
Comment
pourrait-elle ne pas l’être ! L’action se déroule dans le camp de
concentration d’Auschwitz-Birkenau à partir d'avril 1942...
On est
au cœur de l’horreur, et pourtant ce roman est magnifique…
Dans un lieu où hommes et femmes sont réduits à un numéro tatoué sur leur bras, où survivre dépend uniquement du bon vouloir de ceux qui ont le pouvoir, deux jeunes gens, Lale et Gita, vont se rencontrer, s’aimer, et résister coûte que coûte à cet enfer, entourés de quelques véritables amis.
Ils resteront trois longues années
dans ce camp où l’insupportable côtoie le mince espoir de s’en sortir un jour...
Lale n’en a-t-il pas fait la promesse à Gita ?
C’est au crépuscule de sa vie que Lale livrera ce qu’il a vécu, pour que son histoire et celle de Gita ne sombrent pas dans l’oubli.
Un témoignage bouleversant…
L’histoire vraie d’un homme et d’une
femme qui ont trouvé l’amour au cœur de l’enfer.
Sous un ciel de plomb, des prisonniers
défilent à l’entrée du camp d’Auschwitz. Bientôt, ils ne seront plus que des
numéros tatoués sur le bras. C’est Lale, un déporté, qui est chargé de cette
sinistre tâche. Il travaille le regard rivé au sol pour éviter de voir la
douleur dans les yeux de ceux qu’il marque à jamais.
Un jour, pourtant, il lève les yeux sur
Gita, et la jeune femme devient sa lumière dans ce monde d’une noirceur
infinie. Ils savent d’emblée qu’ils sont faits l’un pour l’autre. Dans cette prison
où l’on se bat pour un morceau de pain et pour sauver sa vie, il n’y a pas de
place pour l’amour.
Ils doivent se contenter de minuscules
moments de joie, qui leur font oublier le cauchemar du quotidien. Mais Lale fait une promesse à Gita : un jour, ils
seront libres et heureux de vivre ensemble.
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