C’est
par hasard que je suis tombée sur ce livre, heureux hasard…
J’ai
par la suite découvert que ce livre a connu un beau succès, mais de ne pas en
avoir entendu parler avant m’a permis de rentrer dans le livre avec curiosité,
sans savoir ce qui m’attendait.
C’est
le titre qui m’a happée.
Ensuite
les premières lignes ont fait le reste, puis l’histoire…
Impossible de lâcher le livre tout en le faisant durer pour que cela ne s’arrête pas trop
vite. Il y avait longtemps que je n’avais pas ressenti autant d’émotions à la
lecture d’un roman.
Ce
livre est un énorme coup de cœur.
Comme j’ai
aimé Violette, la suivre pas à pas dans sa douleur, sa force, sa volonté, sa capacité
à s’émerveiller, à donner, à écouter…
Et par-dessus
tout, j’ai aimé l’écriture de l’auteure, délicate, poétique, fluide.
Une tendresse
infinie se dégage de ce livre.
4e de couverture :
Violette Toussaint est garde cimetière dans une petite
ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se réchauffer
dans sa loge où rires et larmes se mélangent au café qu'elle leur offre. Son
quotidien est rythmé par leurs confidences. Un jour, parce qu'un homme et une
femme ont décidé de reposer ensemble dans son carré de terre, tout bascule. Des
liens qui unissent vivants et morts sont exhumés, et certaines âmes que l'on
croyait noires, se révèlent lumineuses. Après l'émotion et le succès des Oubliés
du dimanche, Valérie Perrin nous fait partager l'histoire intense
d'une femme qui, malgré les épreuves, croit obstinément au bonheur. Avec ce
talent si rare de rendre l'ordinaire exceptionnel, Valérie Perrin crée autour
de cette fée du quotidien un monde plein de poésie et d'humanité.
Un
hymne au merveilleux des choses simples.
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