Aux éditions Albin Michel
Trois personnages sont au cœur de
ce roman sensible.
Thérèse, femme d’âge mur, souffre
soudain de ne jamais être regardée et souhaite attirer le regard sur elle, ne
serait-ce qu’une seule fois, pour voir l’effet que ça produit.
Louise, la petite-fille de
Thérèse, très à l’écoute des autres, s’inquiète de voir sa grand-mère qui l’a
élevée, dépérir de jour en jour…
Et Pierre, un chirurgien
esthétique séduisant, quant à lui redonne le sourire aux femmes qui ont perdu
le leur, mais cela a un coût !
Quel sera le prix a payé pour que
chacun redonne à l’autre un peu de rêve ?
Un roman qui se lit d’une traite
et répare les âmes esseulées et chagrinées…
4e de couverture :
"Je sentais la pointe du
crayon repérer les marques du temps, des épreuves, du chagrin... Un homme était
en train d'écrire sur moi. De travailler sur ma peau. De marquer son
territoire"... Avec son acuité bouleversante et son humour décapant, la
romancière de La Fille du rang derrière (prix Goncourt du Premier roman) et de
Tartelettes, jarretelles et bigorneaux (prix Roger Nimier) nous raconte comment
une femme toute simple, en décidant de se métamorphoser, va bousculer le destin
d'un grand médecin esthétique qui se croyait intouchable.
Mes autres articles sur des
livres lus de cette auteure :
- Tartelettes, jarretelles et bigorneaux (2011)
- La douceur assassine (Albin Michel : 2006 - Le livre de poche : 2008)
- Tartelettes, jarretelles et bigorneaux (2011)
- La douceur assassine (Albin Michel : 2006 - Le livre de poche : 2008)
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