L’ombre
du vent danse sur le mur blanc,
Silencieuse.
Elle
ondule comme des vagues
Sans
le bruit des galets
Sans
l’odeur du large.
Et
fait ressurgir les étés d’antan.
Où
tu étais encore là
À
rire, à courir, insouciant...
Aujourd’hui,
tes rires et tes sourires
Se
mêlent parfois à la course des nuages
Pour
disparaître aussitôt en une traînée nébuleuse.
L’ombre
du vent reste insensible à mon vague à l’âme,
Alors
je ferme les volets et je demeure, seule, avec mes souvenirs.
Un
jour, tu as été…
Texte © Marie-Laure Bigand
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