Matin
pluvieux,
Comme
des larmes qui se posent sur un monde en souffrance.
L’homme
a-t-il réellement conscience de l’importance de la vie ?
Quand
reviendra-t-il à la raison ?
Sait-il
seulement la douleur de la perte,
Ce
que l’absence laisse dans le cœur de ceux qui restent ?
Des
larmes qui creusent et marquent les traits à jamais.
L’homme
a un trésor entre les mains et le détruit à petit feu
Par
les guerres, par la violence, par la haine, par la bêtise …
La
vie est un bien précieux qui n’a pas de prix,
Elle
mériterait d’être protégée dans un écrin.
Seulement
tant que des hommes s’abreuveront de leur folie,
La
Terre continuera de s’alourdir sous le poids du chagrin.
Texte © Marie-Laure
Bigand
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