Le café brûle mes lèvres.
Je regarde tous ces gens pressés,
Je leur invente des vies.
Non loin, la boulangerie s’anime
Dans l’odeur du croissant chaud.
Les mots dansent sous mes yeux
Je tente de les attraper pour leur donner un sens
Mais je n’y arrive pas toujours.
Alors je flâne dans mes rêves éveillés,
Le regard perdu dans le ciel incertain.
Les nuages me racontent des histoires,
Je reprends mon stylo
Pour saisir ce qui ne peut se perdre.
Maintenant le café est froid…
Texte © Marie-Laure
Bigand
1 commentaire:
Tant pis si le café est froid, c'est si agréable de laisser son esprit divaguer un peu parfois...
Enregistrer un commentaire