Sur un coin de son épaule
La tête doucement posée
Les jours de doute
De chagrin
D’impuissance…
Yeux fermés
Le monde lui semble soudain moins laid
Et elle n’a plus peur de vieillir.
Sur un coin d’oreiller
Les mains tendrement enlacées
Les nuits d’éveil
De passion
D’amour…
Yeux ouverts
Les corps caressent les draps
Et il n’a plus envie de la laisser partir.
Texte © Marie-Laure
Bigand
Photo © Marie-Laure
Bigand
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