Aux éditions Héloïse d’Ormesson
J’ai rencontré Dominique Dyens lors des virades de l’espoir à Maurepas où nous étions quelques auteurs à venir dédicacer nos ouvrages samedi dernier.
Je n’ai donc pas résisté à l’envie de la lire ayant lu de bonnes critiques sur des blogs de son roman « Délit de fuite ».
En ouvrant le livre, dans la rubrique « Du même auteur », j’ai alors constaté que je l’avais déjà rencontrée, littérairement parlant, avec son roman : « C’est une maison bleue » (Titre que l’on retient puisque instinctivement on fredonne la chanson de Maxime leforestier), que j’avais beaucoup aimé il y a quelques années déjà.
Ici nous sommes dans le roman psychologique où la folie et la manipulation se côtoient tout au long des pages parcourues. Un roman très bien mené qui tient en haleine de la première à la dernière page, dans un style fluide.
Un très bon moment de lecture...
4e de couverture :
Anne Duval, trente-six ans, célibataire, mène une brillante carrière dans la publicité. Elle incarne la femme libre. Libre ? Un trois décembre, tout bascule. Anne craque, prend la tangente et s’enfuit au hasard des routes. Au bord de la folie, elle échoue dans un hôpital psychiatrique à Clermont-Ferrand. A sa sortie, elle est assignée en qualité de témoin dans une affaire de meurtre. Que s’est-il passé ? Qui est cet homme tapi dans l’ombre qui semble lui voler son histoire ?
4e de couverture :
Anne Duval, trente-six ans, célibataire, mène une brillante carrière dans la publicité. Elle incarne la femme libre. Libre ? Un trois décembre, tout bascule. Anne craque, prend la tangente et s’enfuit au hasard des routes. Au bord de la folie, elle échoue dans un hôpital psychiatrique à Clermont-Ferrand. A sa sortie, elle est assignée en qualité de témoin dans une affaire de meurtre. Que s’est-il passé ? Qui est cet homme tapi dans l’ombre qui semble lui voler son histoire ?
2 commentaires:
quelle chance tu as, Marie-Laure de rencontrer de telles personnages, je t'envie, mais si j'ai beaucoup aimé "c'est une maison bleue", je ne saurai pas quoi dire à l'auteur...
ça me fait penser que j'ai du prêter ce livre et qu'on ne me l'a jamais rendu.c'est très énervant !
Bisous, Brigitte
C'est vrai Brigitte que j'ai la chance de rencontrer des auteurs au cours de salons :-)
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