Aux éditions Gunten
J’ai rencontré Patricia au salon du livre de Paris en mars. En fait Patricia a obtenu pour ce roman le prix de littérature « Lions Clubs » pour la région Centre Est. Nous avons donc été côte à côte durant plusieurs heures pour dédicacer nos romans respectifs... et je n’ai pas résisté à l’envie de la lire…
Eh bien, voilà un livre que j’ai particulièrement aimé malgré un sujet délicat : la fin de vie. Patricia nous amène pas à pas sur les derniers jours de Jeanne, atteinte d’un cancer. Difficile de savoir s’y prendre avec la mort toute proche, pour Jeanne et les siens. Autour d’eux il y a une équipe médicale, présente et attachante, mais la personne la plus attachante et incroyable c’est Jeanne.
Que de tendresse et de finesse dans ce roman où les silences et la main de Jeanne, que prennent tour à tour dans leur main presque tous ceux qui entrent dans cette chambre de fin de vie, tiennent un rôle si touchant…
Quand les mots deviennent inutiles, il reste des gestes qui sauvent…
4e de couverture
Jeanne, amenée par son fils Paul, arrive aux Espérels, centre de soins palliatifs. Mais elle n’est pas encore au bout du chemin ! Jeanne est vivante et le fait savoir : tour à tour caustique, sarcastique, tendre… et terriblement lucide.
Riche de ce qu’elle porte en elle, elle apprend à mourir, jour après jour, comme auparavant elle avait appris à vivre. Et autour d’elle, les autres apprennent à « être ».
Pas d’hommage, pas de compassion ; Patricia Gavoille laisse libre cours à ses personnages, fils, mari, soignants, qui n’en finissent pas de se rejoindre sur une route inconnue. Forts et faibles, tous avancent maladroits, presque méfiants comme des enfants le premier jour de l’école. Pas de bravoure non plus… encore que… Chacun d’entre eux appelle, réclame si fort qu’il apprivoise le sourire aux larmes, grâce au talent unique de leur auteur qui nous livre là un ouvrage d’une rare beauté. Un roman d’émotion d’une intensité rare…
Blog de l’auteur
J’ai rencontré Patricia au salon du livre de Paris en mars. En fait Patricia a obtenu pour ce roman le prix de littérature « Lions Clubs » pour la région Centre Est. Nous avons donc été côte à côte durant plusieurs heures pour dédicacer nos romans respectifs... et je n’ai pas résisté à l’envie de la lire…
Eh bien, voilà un livre que j’ai particulièrement aimé malgré un sujet délicat : la fin de vie. Patricia nous amène pas à pas sur les derniers jours de Jeanne, atteinte d’un cancer. Difficile de savoir s’y prendre avec la mort toute proche, pour Jeanne et les siens. Autour d’eux il y a une équipe médicale, présente et attachante, mais la personne la plus attachante et incroyable c’est Jeanne.
Que de tendresse et de finesse dans ce roman où les silences et la main de Jeanne, que prennent tour à tour dans leur main presque tous ceux qui entrent dans cette chambre de fin de vie, tiennent un rôle si touchant…
Quand les mots deviennent inutiles, il reste des gestes qui sauvent…
4e de couverture
Jeanne, amenée par son fils Paul, arrive aux Espérels, centre de soins palliatifs. Mais elle n’est pas encore au bout du chemin ! Jeanne est vivante et le fait savoir : tour à tour caustique, sarcastique, tendre… et terriblement lucide.
Riche de ce qu’elle porte en elle, elle apprend à mourir, jour après jour, comme auparavant elle avait appris à vivre. Et autour d’elle, les autres apprennent à « être ».
Pas d’hommage, pas de compassion ; Patricia Gavoille laisse libre cours à ses personnages, fils, mari, soignants, qui n’en finissent pas de se rejoindre sur une route inconnue. Forts et faibles, tous avancent maladroits, presque méfiants comme des enfants le premier jour de l’école. Pas de bravoure non plus… encore que… Chacun d’entre eux appelle, réclame si fort qu’il apprivoise le sourire aux larmes, grâce au talent unique de leur auteur qui nous livre là un ouvrage d’une rare beauté. Un roman d’émotion d’une intensité rare…
Blog de l’auteur
2 commentaires:
Tu me donnes vraiment envie de lire ce roman même si il est forcément triste....
Bises Marie-Laure
Moi aussi, j'ai envie de lire ce roman. On a été, on est ou on sera tous un jour confronté à la fin de la vie (c'est une évidence !) et il ne faut pas se voiler la face, faire un tabou de la mort. Je pense qu'il faut savoir y songer pour minimiser ses peurs... Et tant que la vie est présente, même si ce n'est plus qu'une petite étincelle, elle est bien là !
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