Sans les oiseaux, le ciel est perdu ;
Il est sans voix.
Mais quand passeront-ils au-dessus
Des toits ?
Regardez le soleil tremper son disque
Rouge dans la tasse du soir,
Puis l’horizon prendre le risque
De disparaître dans le noir.
Sans les étoiles, l’univers a froid ;
Il est aveugle.
Il ressemble à un grand meuble
Refermé sur le vide.
Admirez-vous la lune à polir
Vos nuits de douceur ?
Elle vous accompagne pour fleurir
Vos rêves de bonheur.
Sans amour, l’homme est perdu ;
Il est faible.
Sans la femme, il est incomplet.
Sans elle, il est sans lui.
V.Gabralga
Il est sans voix.
Mais quand passeront-ils au-dessus
Des toits ?
Regardez le soleil tremper son disque
Rouge dans la tasse du soir,
Puis l’horizon prendre le risque
De disparaître dans le noir.
Sans les étoiles, l’univers a froid ;
Il est aveugle.
Il ressemble à un grand meuble
Refermé sur le vide.
Admirez-vous la lune à polir
Vos nuits de douceur ?
Elle vous accompagne pour fleurir
Vos rêves de bonheur.
Sans amour, l’homme est perdu ;
Il est faible.
Sans la femme, il est incomplet.
Sans elle, il est sans lui.
V.Gabralga
4 commentaires:
Très joli poème, merci...
Merci Marie-Laure !
V. Gabralga
Très belles lignes.
Il est très joli ce petit texte, et tellement vrai !
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