Aux éditions Stock
Même si j’ai trouvé parfois quelques passages un peu longs j’ai bien aimé ce livre (Sur mon blog je parle uniquement des livres dont j’ai apprécié la lecture, sinon je préfère ne pas en parler) où des vies se disloquent ou se révèlent, suite à l’incendie d’un appartement dans le quartier de Pigalle.
L’écriture est maîtrisée et soignée et donne beaucoup de relief à ce roman.
4e de couverture
A Paris aujourd’hui, dans le quartier de Pigalle, une vielle dame met le feu à son appartement. Cet acte désespéré bouleverse la vie de plusieurs personnes autour d’elle, de ses voisins à sa femme de ménage, en passant par son fils unique, et son épouse qu’il s’apprêtait à quitter pour une autre femme. Tous perdent leurs repères et révèlent une nouvelle facette, inattendue, d’eux-mêmes.
Entre sex-shops et poubelles de supermarchés, crèches familiales et anciens bordels, salles d’attente et commerces ruineux, Nation Pigalle, où l’on croise aussi bien des bourgeois essoufflés que des SDF éperdus, des enfants, des adolescents, des pieds-noirs, un professeur de piano russe, une couturière chinoise, des acrobates roumains, un volcan islandais, une Coupe du Monde de Football, un Moulin-Rouge ou encore un poète fou, est la radiographie brutale d’une société de consommation malade, d’une France en quête d’identité, dont la vérité peut-être ne se trouve plus sur ses passeports mais dans le chant débridé qui s’élève de ses rues.
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