La mer n’a plus d’odeur
Les vagues s’enroulent autour de toi mais tu ne les vois pas.
Regard perdu, éperdu, au-delà de l’horizon
Le soleil se noie dans son solstice
Et te laisse plus démunie que jamais.
La trace de tes pas sur le sable humide retient ton passage.
Tes larmes s’accouplent aux embruns
Le vent les emporte
Et brise ton chagrin contre les rochers.
Pleure petite sœur…
Laisse tes sanglots respirer aux voiles des tempêtes
Elles soulageront ton cœur en balayant tes tourments.
Le ciel s’assombrit
C’est l’heure des étoiles magiciennes
Celles qui réconfortent les peines
Ne perds pas leur chemin
Elles t’offrent leur réconfort
La lune en berceau de lumière.
Texte © Marie-Laure Bigand
2 commentaires:
Les étoiles, comme les amis, sont toujours là pour alléger les peines et donner de l'espoir.
:-)
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