Il y a quelque chose de douloureux dans Cléa, silhouette que l’on devine filiforme et à qui on a envie de tendre la main.
Dans ce roman, l’écriture poétique coule à l’image de son héroïne qui se fond dans un monde où elle ne trouve pas sa place.
Ce livre porte une lumière et possède cet indéfinissable petit quelque chose qui ne vous quitte plus.
J’ai beaucoup aimé…
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